Paroles de Stéphane Doucet, Sales Director Water Utility chez GRUNDFOS FRANCE

par | 17 Juil 2024

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Paroles de Stéphane Doucet, Sales Director Water Utility chez GRUNDFOS FRANCE

Episode n°8 du Podcast Paroles par Monreseaudeau.fr – Stéphane DOUCET

Bienvenue dans Paroles par Monreseaudeau.fr, le podcast qui plonge dans le monde fascinant de l’eau.
Je suis Arnaud HETEAU et dans chaque épisode, nous explorons les histoires inspirantes de professionnels passionnés qui consacrent leur métier à l’eau.
Dans ce podcast, nous vous emmenons à la rencontre de ces visionnaires, ingénieurs, entrepreneurs et experts pour découvrir leur motivation, leur parcours et ce qui les anime dans cet univers.
Nous plongerons au cœur de leur entreprise, explorant les produits et services novateurs qui façonnent notre relation avec cette ressource vitale, préparez-vous à être inspiré, informé et saisi par ces récits captivants qui nous rappellent à quel point l’eau est au centre de nos vies et de notre avenir.
Accrochez-vous car une aventure enrichissante débute maintenant.
Bienvenue dans Paroles par Monreseaudeau.fr.

 

Bonjour Stéphane, bienvenue dans Paroles par Monreseaudeau.fr. C’est un plaisir de t’accueillir aujourd’hui. On va prendre le temps un peu de comprendre comment tu es arrivé dans le monde de de l’eau. Tu es un spécialiste du pompage et c’est ça qui est intéressant !

Alors un spécialiste de pompage par mon expérience, oui. En revanche, il y a différents types de spécialistes. Je dirais que, même si mon parcours est assez simple, je crois que j’étais destiné tout simplement à être dans le pompage très jeune.

 

C’est venu comment, effectivement ?

Alors je dirais le hasard, mais quelquefois le hasard c’est le destin.

Je suis originaire de Châteauroux. J’ai fait des études de mécanique, d’ingénierie mécanique et comme tout jeune étudiant, je cherche un stage et par relation, par connaissance je trouve un stage dans une grande société de pompage située à Châteauroux. Et je fais mes stages étudiants là-bas.

Je ne suis pas ingénieur, j’ai fait un DUT de génie mécanique, plutôt bureau d’étude, dessin et d’ailleurs mon stage se passe dans un bureau d’étude et c’est là où c’est intéressant parce que je m’aperçois que j’aime la technique, peut-être moins l’aspect sédentaire.

Donc j’ai mon diplôme et je change d’orientation puisque je fais après une école de commerce qui va me permettre d’avoir une double compétence. Donc après, comme les gens de ma génération, je vais à l’armée et cetera. Je me mets à chercher du travail et je passe quelques entretiens.

 

C’est quoi ton premier job, ton premier poste ?

Alors mon premier job, je suis technico-commercial sédentaire. J’ai 23 ans, je démarre et là je vais rester dans cette société pendant 23 ans.

Je vais occuper des postes différents donc très rapidement je vais passer sur la route comme technico-commercial.

Par la suite, je vais quitter la région parisienne et m’installer à Reims pour devenir responsable d’agence pour finir responsable grands comptes, et le tout sur une période de 23 ans.

Avec en effet, une clientèle différente mais toujours liée, très liée au domaine de l’eau et de l’assainissement.

 

Tu es directeur commercial chez Grundfos, on va en parler un peu plus tard pour un peu comprendre l’avenir de Grundfos, puisque on a vu chez Monreseaudeau.fr qu’il y a eu beaucoup, beaucoup d’évolution. On a notamment publié beaucoup d’articles, des focus sur pas mal de vos produits et donc cet entretien va permettre de comprendre où vous allez.

Là, tu es aujourd’hui en tête d’une équipe de commerciaux ? Qu’est ce qui est pour toi le plus important quand tu es technico-commercial dans le monde du pompage, quelles sont les qualités ?

Alors pour les qualités, c’est la persévérance, c’est l’écoute essentiellement.

Moi, je sais que j’ai une équipe formidable. Je les connais depuis 2015, année où je suis arrivé chez Grundfos comme responsable des ventes et j’ai l’opportunité de prendre le poste de directeur commercial il y a 4 ans maintenant.

Et j’ai une équipe ultra concernée, fidèle aussi, qui connait bien les clients, qui savent aussi comprendre, comprendre comment fonctionne le marché de l’eau et de l’assainissement.

Ils savent aussi se remettre en question puisqu’aujourd’hui, parce qu’aujourd’hui l’important c’est l’innovation.

Les sociétés leaders d’opinion et leader dans le monde du pompage comme Grundfos doivent être porteurs d’innovation et ça c’est important, il ne faut jamais rester sur ses acquis.

Et aujourd’hui j’ai une équipe avec des personnes qui ont entre 30 et 60 ans, donc des expériences différentes, des générations différentes également, qui sont plus ou moins à l’aise avec l’innovation, l’IA, le machine learning, mais qui se remettent en question tout le temps. Donc une équipe vraiment très concernée par ce qu’ils font.

Je dirais que c’est un peu ce que Grundfos propose, la société a beaucoup de valeurs.

Lorsque je suis arrivé chez Grundfos en 2015, c’est ce qui m’a fait changer, c’est ce qui m’a fait basculer, ce sont les valeurs de l’entreprise, très tournées vers l’humain, vers l’innovation.

Tout le monde en parle de l’eau, c’est une ressource qui va se raréfier dans les 10, 20, 30 années. Moi, je pense que c’est important que tout le monde participe. Et c’est ce que propose la société à travers son discours, à travers ce qu’elle met en place dans le monde entier.

Voilà, c’est ce qui me fait avancer. C’est effectivement le fait que Grundfos soit une fondation. Le concept de la Fondation nordique est différent puisqu’on n’est pas coté en Bourse, donc on n’est pas opéable. Donc voilà, chaque personne fait partie de l’entité.

 

Est-ce qu’il faut avoir une base technique ?

Il faut une forte base technique ! Et pour la partie eau et assainissement, je pense qu’il faut une base grosse technique ou du moins faut aimer la technique.

Aimer le contact avec les techniciens, qui sont qui sont nos clients, les exploitants qui ont des demandes techniques.

Après il faut être à l’aise aussi au niveau hydraulique avec les bureaux d’études. Faut savoir proposer des solutions, faut être le contact.

On a aussi un système, ce qu’on appelle un back office au niveau de notre siège social pour toutes les études d’ingénierie. Donc oui je pense que la base c’est la technique.

 

Quelle autre qualité tu penses qu’il faut avoir pour gérer des dossiers qui amènent à rencontrer des publics complètement variés entre l’exploitant, le bureau d’études, le maître d’œuvre, le maître d’ouvrage ?

C’est ce qu’il y a de plus compliqué parce qu’effectivement, faut savoir quelquefois changer son cerveau. On travaille aussi beaucoup avec la distribution, donc la distribution c’est un appel, un appel, un prix et il faut répondre rapidement. On travaille également avec des bureaux d’études où on va avoir une énorme station de pompage en mètre cube/s à chiffrer, à dimensionner, et là effectivement, ça peut se passer dans la même heure. Donc il faut savoir être se mettre au niveau de de chaque interlocuteur.

Ce que ce que propose Grundfos aussi c’est le développement. C’est-à-dire, que moi en tant que manager, je ne suis pas surveillance des équipes, je suis plutôt dans le développement des équipes commerciales. Donc justement leur apprendre à mieux vend, à mieux écouter, à mieux s’adapter.

 

Toi, tu es dans le monde du pompage depuis très longtemps, tu as vu une évolution là depuis le début de ta carrière sur les besoins, les demandes ?

Des évolutions technologiques, déjà, je veux dire, ce qui se passait il y a 30 ans est différent.

L’eau est plus rare aujourd’hui. On parle beaucoup d’économie d’énergie. Le coût de l’énergie augmente, on le voit tous les jours. Même à titre personnel, l’eau devient plus rare.

Aujourd’hui, on parle de fuite, c’est le sujet numéro un, c’est la sécheresse, c’est le temps, c’est aussi bien dans la partie assainissement que dans la partie irrigation.

Toute la partie eau, c’est super important. On parle de rendement, beaucoup plus de rendement. Avant on parlait plutôt de puissante, de section de pompage. Aujourd’hui ce n’est plus ça, plus forcément des grosses stations de pompage avec des très grosses pompes, et cetera.

Non, il faut la pompe qui soit adaptée au bon domaine et à la solution et au site, c’est ça le plus important.

 

J’ai vu arriver Grundfos Utility Analytics. Mais d’abord est ce qu’on peut resituer Grundfos ? Tu as déjà initié en disant « la Fondation », explique-nous un peu qui est Grundfos ?

Grundfos, c’est une société danoise, une société familiale. Même si nous sommes 20 000 dans le monde avec un chiffre d’affaires de plus de 4 milliards d’euros.

Nous sommes aujourd’hui dirigés par le petit-fils de notre fondateur puisque la société a été créée dans les années 1950.

Son fils a repris la société en 1973 au décès de son père. Et aujourd’hui, c’est le petit-fils, qui depuis 2020 est à la tête de la société.

 

Donc 20 000 personnes dans le monde, en France, vous êtes combien ?

Alors en France, 200 au niveau de la société commerciale, et nous avons la chance également d’avoir une usine en France qui est basée dans l’est de la France où il y a environ 500 personnes.

Où sont fabriquées des pompes doseuses mais également des pompes de chauffage, ce n’est pas du tout le domaine de l’eau et de l’assainissement.

Puisque nous avons des usines, qui sont susceptibles de fabriquer plusieurs modèles de pompes avec différentes activités. Donc on a une grosse activité chauffage et l’activité pompe doseuse pour le monde.

 

Et les pompes qui sont fournies sur le marché français sont principalement produites un peu partout dans le monde, ou il y a des spécialités par zone ?

Il y a une pratique qui est assez vraie chez Grundfos, c’est que nos usines, environ une vingtaine d’usines dans le monde et généralement la distribution se fait en plaque continentale, c’est à dire que les usines européennes fabriquent pour l’Europe, les usines sur le continent américain fabriquent, pour la Chine, l’Océanie, et cetera.

Il y a quelques particularités comme le solaire, on est un des leaders dans le monde sur la partie pompage solaire et là on a une usine qui est basée au Mexique. Et cette usine fabrique les moteurs solaires pour le monde entier.

 

Il faut garder en tête, qu’il y a une spécialisation des usines par zone ou par application et après une optimisation des flux.

Et ensuite si on part dans les plus grosses usines, elles se situent encore au Danemark. On a gardé nos usines au Danemark, donc là on va dire toute la partie Inox, donc les pompes multicellulaires verticales, la partie pompe de forage, tout est fabriqué au Danemark.

Et nous avons, il y a une vingtaine d’années construit 4 usines en Hongrie, où on va retrouver plutôt les pompes fonte, les pompes d’assainissement, les pompes de surface horizontale. On reste une compagnie européenne quand même et ça c’est important, avec la chance d’avoir une usine en France.

 

Donc vous avez développé 4 axes stratégiques, tu vas pouvoir nous les développer. Tu as parlé tout à l’heure de « fondation Grundfos ». Est-ce que tu peux nous en dire deux mots ?

À l’intérieur de cette fondation, il y a une autre division qui s’appelle Safewater, qui fait partie de la division Water Utility quand même, parce que c’est la direction, c’est plutôt on va dire la partie alimentation, apport d’eau, alimentation d’eau dans les pays en développement.

Cette fondation qui représente à peu près une trentaine, une quarantaine d’employés Grundfos a pour objectif de créer des partenariats avec les grandes ONG mondiales, et de faciliter le rapport entre les donneurs d’ordres locaux et ces grandes ONG.

C’est à dire qu’aujourd’hui, nous ne sommes pas sur de la vente de produits, nous sommes sur du calcul d’alimentation du nombre de personnes qui vont avoir accès à l’eau.

On a un objectif, c’est 300millions de personnes, donc c’est ça a commencé à peu près en 2020, ça va aller jusqu’en 2030.

L’objectif c’est d’apporter de l’eau à des pays en développement pour 300millions de personnes.  Cette année, on a eu la chance de signer un contrat avec Médecins sans frontières sur des applications, nous avons la chance qu’une grosse partie de l’activité de Médecins sans frontières se passe en France.

On peut citer aussi la Croix Rouge, Hydrauliques sans frontières, qu’on aide assez fortement puisqu’ils sont basés à côté de Lyon. Certaines personnes diront qu’ils sont fiers, ce sont des anciens de Grundfos. Donc il y a vraiment un rapprochement et on les aide techniquement, sur le dimensionnement de projet, au niveau des régions aussi, on soutient leurs projets, pas sur le plan financier mais on soutient en discours, en partenariat. Souvent les régions demandent qu’il y ait un grand partenaire derrière, c’est là qu’on intervient.

On participe à quelques interventions on va dire pour que Hydrauliques sans frontières puisse développer leur activité. Parce qu’aujourd’hui les ONG comme tu le sais, elles ont besoin d’argent.

C’est vrai qu’il y a quand même l’activité géopolitique de l’Afrique qui est délicate ces 2 dernières années, mais on a fait avec eux un projet au Burkina Faso, avec la partie solaire, la partie distribution d’eau et c’est super intéressant, c’est super intéressant. Par contre ce sont des partenaires locaux qui travaillent, Grundfos n’intervient pas en termes de vente, on les a mis en contact avec nos collègues justement de safewater qui leur ont trouvé des partenaires locaux. Ils vont pouvoir recruter des personnes sur place, ils vont créer une économie, pas forcément sur la partie pompage mais sur la partie travaux, drainage, tuyau, et cetera.

 

Donc ça c’est l’illustration du 4e axe de développement de Grundfos sur l’accès à l’eau ?

Oui, c’est l’accès à l’eau.

 

Est-ce que tu peux en dire plus sur les 3 autres axes ?

Déjà, il y a la partie sécurisation des réseaux. Tu parlais tout à l’heure de Grundfos Connect, c’est un système de télégestion et télésurveillance développé par Grundfos il y a quelques années.

Il est assez peu implanté en France mais très présent dans d’autres pays.

C’est un système classique de télégestion/ télésurveillance avec une base cloud.

Les clients paient un abonnement annuel de 300 à 350 euros pour accéder à leurs données. C’est un système simple à installer dans une armoire, un surpresseur ou autre équipement.

 

C’est la télégestion simplifiée sur des sites isolés.

Exactement, avec un accès facile via un smartphone. Après, il y a Grundfos Utility Analytics (GUA), en partenariat avec une société appelée Baseform. Grundfos a l’exclusivité en France.

Nous avons nos propres équipes spécialisées dans ce domaine. Nous faisons de la prévision sur les réseaux, en identifiant par exemple les fuites.

C’est plus complexe, nous avons des spécialistes en France qui peuvent mieux expliquer. Nous faisons aussi de la relève télécompteur.

Tout cela pour dire que Grundfos est un fabricant de pompes, mais pas seulement.

Nous nous ouvrons à l’innovation, car nous savons que c’est nécessaire. Nous devons anticiper pour conseiller nos clients sur la meilleure utilisation de leurs équipements. Notre outil permet de déterminer ce qu’il faut faire, comme réduire la taille d’une pompe ou ajuster son fonctionnement.

 

Avec GUA, vous faites de la maintenance prédictive ?

Oui, de la prédiction sur l’usure et le vieillissement des réseaux. Si nous détectons des fuites, nous proposons des solutions adaptées.

Par exemple, le DDD avec notre algorithme sur la surpression, nous pouvons apprendre au surpresseur comment fonctionner de manière optimale en machine learning toujours, réduisant ainsi les pressions et les débits en fonction des besoins.

 

Vous changez de modèle économique avec ces solutions logicielles ?

GUA fonctionne aussi par abonnement. Nous avons déjà de belles références.

Nous devons être acteurs de l’innovation, que ce soit par des acquisitions externes ou des licences. Les clients, même les collectivités, s’adaptent bien à ce modèle d’abonnement.

Aujourd’hui, les régies sont très compétentes et cherchent à réduire les coûts et optimiser leurs réseaux.

Nous avons changé de slogan il y a un an et demi : « Possibility in every drop ».

L’objectif de Grundfos est de maximiser chaque goutte d’eau, car nous n’avons plus les moyens de laisser l’eau couler sans l’utiliser efficacement.

Nous investissons aussi dans des acquisitions, comme récemment avec la société anglaise Metasphere, spécialisée dans la niveaumétrie. Cette société n’est pas lancée en France, seulement en Angleterre et Italie.

Cela nous permet de mesurer et gérer les ressources de manière plus précise.

 

Parlons des nappes phréatiques. Vous êtes bien présents sur ce segment ?

Oui, les nappes phréatiques, c’est très complexe, elles sont directement liées au climat.

Nous travaillons sur des solutions globales pour gérer ces ressources.

Nos collègues australiens, confrontés à un stress hydrique important, développent des systèmes de gestion par satellite. Nous voulons pouvoir gérer les hauteurs de nappe et la pollution.

Nous avons de la chance cette année, les nappes sont pleines mais lorsqu’elles sont très basses, comment gérer le pompage ? Comment gérer la pollution également ?

L’année dernière, nous avons lancé des moteurs à aimants permanents pour nos pompes de forage, ce qui permet de gagner en rendement énergétique.

On sait aujourd’hui que l’énergie c’est très important, notamment avec l’activité agricole, d’où le besoin d’avoir des produits basse consommation.

 

C’est votre 4e volet, la transition énergétique ?

Oui, nous savons que les moteurs représentent une part importante des émissions de CO2 mondiales (entre 10 et 15%).

Nous nous engageons à produire des moteurs à haut rendement énergétique.

Nous fabriquons 17 millions de pompes par an, ce qui nous donne une responsabilité en matière de sobriété énergétique.

 

Le service chez Grundfos, c’est quoi exactement ?

Le service chez Grundfos inclut la mise en service, les contrats d’entretien, la réparation et l’optimisation énergétique.

Nos techniciens ou commerciaux effectuent des audits énergétiques pour proposer des solutions préventives.

Nous avons un atelier central pour les réparations de pompes de forte puissance et un business developer dédié au développement de l’activité service.

 

Qu’est-ce que tu voudrais que les gens retiennent de Grundfos en trois mots ?

Responsabilité, valeur, innovation.

 

Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui veut entrer dans le monde du pompage ?

Soyez curieux et remettez-vous toujours en question. Le monde du pompage évolue constamment. Il faut poser des questions, découvrir les besoins des clients, et être prêt à s’adapter.

Pour les jeunes et ceux en reconversion, il y a de la place dans ce domaine. Le recrutement est devenu plus difficile, mais l’industrie de l’eau reste un secteur passionnant avec de nombreuses innovations.

 

Merci beaucoup Stéphane, pour ce moment et ce partage. À très bientôt.

C’était un plaisir, merci Arnaud. À bientôt. Au revoir.

 

Un grand merci à nos invités d’aujourd’hui d’avoir partagé leur expertise et leur passion avec nous.
C’est la fin de cet épisode de Paroles par Monreseaudeau.fr.
Nous espérons que cette plongée au cœur du monde de l’eau vous a inspiré et vous a permis de découvrir de nouvelles perspectives.
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