Dans cet article, découvrez quels salons sur l’Eau visiter ou exposer en 2025 et pourquoi ils sont bien plus que de simples expositions. Véritables plateformes d’innovation et d’échange, ils rassemblent chaque année les acteurs engagés dans la gestion durable de cette ressource précieuse. Vous y explorerez les innovations, collaborations, pour contribuer activement à un avenir plus durable.
La sectorisation des réseaux d’eau : comment y parvenir rapidement et efficacement ?
Pour les exploitants de réseaux d’eau, le rendement est l’élément clé pour déterminer et optimiser les résultats financiers.
Systématiquement, la balance entre l’eau comptabilisée entrant dans le réseau et l’eau comptabilisée sortant du réseau est impactée par des fuites, et parfois par des pertes conséquentes.
La sectorisation a en partie vocation à résoudre cette problématique, en rendant plus simple la détection des fuites et autres anomalies sur le réseau d’eau.
Pourquoi la sectorisation a-t-elle gagné autant de terrain ?
Il y a encore quelques décennies, la sectorisation des réseaux d’eau n’était pas une priorité.
La privatisation du marché de l’eau au Royaume-Uni a considérablement démocratisé cette pratique.
En effet, les acteurs privés du secteur de l’eau étaient soumis à de plus fortes contraintes financières, leur imposant notamment d’atteindre des objectifs mesurer par des indicateurs de rendement de réseau ou d’équipement des maisons en compteurs d’eau.
C’est ce qu’a permis à la méthodologie de sectorisation, désignée par le terme DMA (District Meter Area), de se déployer.
Elle offre une solution facile à plusieurs niveaux :
- permet de mesurer les pertes en eau
- décele les sources de dysfonctionnements sur des sous-sections du réseau d’eau.
- priorise les secteurs les plus critiques à entretenir
En France, la question des pertes en distribution des systèmes d’alimentation en eau potable a été réglementée par la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement.
Le décret n° 2012-97 du 27 janvier 2012 a ensuite porté sur la définition d’un descriptif détaillé des réseaux des services publics de l’eau et de l’assainissement et d’un plan d’actions pour la réduction des pertes d’eau du réseau de distribution d’eau potable.
Ceux-ci ont donc incité les exploitants des réseaux d’eau potable à tout mettre en œuvre pour limiter les pertes d’eau, ce qui s’est traduit notamment par le développement de la sectorisation.
Les objectifs du maillage d’un réseau d’eau
La sectorisation d’un réseau d’eau poursuit plusieurs objectifs, à la fois préventifs et curatifs.
En effet, en délimitant des zones relativement homogènes en fonction de plusieurs critères (nombre d’usagers, tracé du réseau, etc.), il devient plus facile de détecter des dysfonctionnements et d’en trouver la cause pour agir au plus vite.
Cela est rendu possible par un calcul des volumes entrants et sortants, un calcul de l’indice linéaire de perte sur un secteur, des mesures du débit, etc.
La sectorisation et les actions qui en découlent vont ainsi permettre de réaliser de véritables économies, puisque les eaux perdues et non redistribuées jusqu’au consommateur final ne sont pas facturées.
L’enjeu est également environnemental et durable, dans un contexte où les ressources en eau se font de plus en plus rares.
Le gaspillage n’est donc plus permis, et des outils et des procédures adaptés doivent être utilisés pour le minimiser autant que possible.
Le Redar Py-Bass, la solution pour sectoriser rapidement et à moindre coût
La réparation des fuites est l’une des principales actions à mener pour améliorer le rendement d’un réseau.
Néanmoins, elle peut présenter quelques inconvénients : coupures d’eau, zone endommagée difficilement accessible, coûts élevés de l’opération, etc.
Mais il faut savoir qu’une autre solution existe pour limiter les fuites d’eau : le réglage du couple débit/pression en fonction de la demande en eau.
En limitant ce couple quand cela est possible, le volume d’eau sortant par les fuites est bien moins conséquent, pour réaliser des économies sans avoir à intervenir directement sur la fuite.
C’est ce que se propose de faire pour vous le Redar By-Pass de Ramus, un système complet, autonome et unique au monde, dédié à la sectorisation.
Fabriqué sur mesure pour s’adapter à tous les réseaux, il est entièrement assemblé et réglé en usine, avant l’installation sur site, au niveau des points stratégiques du réseau d’eau.
L’avantage majeur est bien sûr la rapidité de mise en place, qui va permettre un retour sur investissement rapide.
De plus, l’entretien de cet appareil s’effectue sans coupure d’eau pour les abonnés, en utlisant la fonctionnalité du by-pass.
Cette affirmation est d’autant plus indiscutable que Ramus a testé ce produit en situation réelle durant 2 ans sur la Communauté de Communes de Grenoble.
Particulièrement précis dans le couple debité/pression qu’il délivre et conçu de sorte à éviter les dangers résultant de fortes variations de pression, le Redar By-Pass dispose d’une grande longévité et d’une fiabilité incontestable.
PARLEZ AVEC DES EXPERTS
Présent au Carrefour de l’eau 2020, l’équipe de RAMUS Industrie aura a coeur de vous guider pour définir comment leur solution Redar Py-Pass s’adapte à vos besoins.
RAMUS Industrie exposera dans le Hall 5, au stand 147.
Pour aller plus loin, recevez les documents suivants :
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Le Guide 2014 de l’ASTEE sur la réduction des pertes en Eau
Le Guide 2017 de l’ASTEE sur la réduction des pertes en Eau
Acteurs cités dans cet article
RAMUS INDUSTRIE
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